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Lierre grimpant (Hedera helix) Photo : Cabane de Tellus |
Le Lierre grimpant est certainement la liane ligneuse la plus importante des écosystèmes d'Europe tempérée. Panacée écologique, sa floraison est extrêmement mellifère, ses fruits nourrissent les oiseaux, et son feuillage persistant offre refuges et sites de nidifications à de nombreux animaux, en particulier l'hiver. C'est une liane épiphyte, c'est à dire qu'elle se sert d'un arbre comme support, mais ne le parasite pas. Contrairement à une idée reçue, il n'étouffe pas l'arbre sur lequel il pousse, car ses organes restent sous la canopée et son cycle végétatif est décalé par rapport à celui des arbres (floraison en automne). Le lierre grimpant est une plante chargée de mythes et de croyances. Les Celtes la considérait comme sacrée et puissamment magique, protectrice des foyers et capable de repousser les maladies et l'ivresse. |
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Le saviez-vous Depuis quelques temps, le Lierre grimpant est étudié pour une autre de ses qualités : il fait partie des plantes dites "dépolluantes". Capable d'absorber et de fixer certains toxiques très nocifs : les formaldéhydes, il contribue à assainir l'air ambiant. |
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Sureau hièble (Sambucus ebulus) Photo : photoflora.free.fr |
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Le Sureau hièble ou "petit sureau" fait partie des plantes rudérales vivaces qui s'installent sur les terrains abandonnés depuis quelques temps, tout comme la Clématite vigne-blanche, Le Lierre grimpant ou la Ronce commune. On le trouve également aux bords des routes, surtout dans les terres riches en azote. Sa croissance est très rapide, on le distingue des autres sureaux (arborescents) par l'odeur désagréable qui émane lorsque l'on froisse ses feuilles, mais également par ses tiges non-ligneuses, qui disparaissent totalement en hiver. Ses fruits sont disséminés par les oiseaux qui les consomment, mais ils sont toxiques pour la plupart des mammifères. Ses fleurs n'attirent pas particulièrement les abeilles, mais beaucoup d'autres insectes. |
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Bryone dioïque (Bryonia dioica) Photo : photoflora.free.fr |
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Voilà une authentique cucurbitacées (famille de la courge et du concombre) plante mythique, réputée comme l’une des favorites des pratiques de la sorcellerie, mais aussi l'une des clefs de la médecine médiévale. La Bryone dioïque doit son nom à son caractère dioïque, et ses appellations vernaculaires à sa haute toxicité. La plante se développe en s'accrochant aux plantes alentours grâce à des vrilles volubiles. Les fleurs femelles fructifient en donnant des baies rouges, extrêmement toxiques, riches en alcaloïdes, mais mangées impunément par les oiseaux qui véhiculent les graines dans leurs fientes. La plante est vivace, mais caduque. Seul survie en hiver, un gros tubercule enfoui profondément dans le sol. |
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Le saviez-vous D'après la légende, c'est le centaure Chiron (guérisseur et érudit) qui aurait découvert cette plante, synthèse de son savoir, que seuls les sages sauraient utiliser sans risque. |
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Momordique sauvage (Ecballium elaterium) Photo : wikipedia.org |
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Voici un concombre qu'il vaut mieux se garder de consommer ! La Momordique sauvage, fréquemment surnommée "concombre d'âne" par allusion à sa non-comestibilité, a beau ressembler à son parent cultivé (Cucumis sativus), elle n'en reste pas moins très toxique (riche en cucurbitacines, puissante toxines extrêmement amères). Elle était parfois utilisée pour concocter des potions dangereusement purgatives. La momordique adore la chaleur et on ne la trouve guère que dans les régions aux hivers doux : pourtour méditerranéen et littoral du sud-ouest de la France, où elle se contente du moindre tas de cailloux pour prospérer. |
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Le saviez-vous |
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Une des rares plantes qui, en plus d’être magnifique, mérite le terme de “messicole” tout en étant vivace. Le Glaïeul des moissons réussi à survivre à la destruction des parties aériennes grâce à son bulbe souterrain, profondément caché. Ainsi que son nom latin l’indique, on le rencontre surtout en Italie et sous des climats méditerranéens. Voyageant de champs en champs, on peut néanmoins le rencontrer en France, au sud de la Loire. L’apparition du labour profond et systématique l’a condamné à une régression sévère et il survie plutôt dans les friches et les terrains en jachère.
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Glaïeul des moissons (Gladiolus italicus) Photo : photoflora.free.fr |
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Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le Muscari à grappe n'est pas forcément échappé des jardins. Bien que très utilisé en horticulture pour fleurir les massifs au printemps, il pousse spontanément en tant que commensales des cultures dans les vignobles et les vergers. Originaire du croissant fertile, les Muscaris ont été introduit, il y a bien longtemps en même temps que la vigne et d'autres cultures. Leurs bulbes souterrains leurs permettent de supporter facilement les fréquentes sécheresses du milieu. Reconnaissable à son parfum rappelant la prune, le Muscari en grappe ou "Muscari oublié" porte bien son nom : les nouvelles techniques culturales, notamment le labour, dans les champs de vignes ne cessent de le faire régresser. |
Muscari à grappe (Muscari neglectum) Photo : wikipedia.org |
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Dès la préhistoire, le Lin bleu, ou Lin domestique, fut cultivé en Europe pour ses fibres de qualité exceptionnelle, permettant l'obtention d'une étoffe à la fois noble et inusable. De plus ses graines fournissent une huile de haute qualité, riche en acides gras insaturés, et aux usages multiples. Autrefois cultivé un peu partout en Europe, le Lin a profité de cette période d'opulence pour s’échapper discrètement des champs et redevenir sub-spontané. Détrôné par le coton, les fibres synthétiques et les huiles végétales bon marché, la culture du lin a sévèrement régressé. Heureusement, avec le développement des fibres écologiques et des alternatives au pétrole, l'industrie du lin connaît un renouveau bien mérité, et sa culture reprend de plus bel, en particulier dans le nord de la France. |
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Lin bleu (Linum usitatissimum) Photo : wikipedia.org |
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Le saviez-vous Le Lin a profondément marqué la culture Européenne, on le retrouve ainsi dans la racine étymologique de nombreux mots de français : linge, linceul, linoléum... En botanique en particulier, il sert souvent de plante de comparaison, ainsi il existe de nombreuses plantes dont le nom d'espèce est "linifolia, linifolium" (à feuilles de lin) ou "liniflora" (à fleurs de lin). |
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Le Lin bisannuel, ou "lin à feuilles étroites", est un lin sauvage aux fleurs aériennes aussi délicates qu'éphémères. Préférant un climat doux et océanique, il pousse préférentiellement dans la partie méridionale de la France, mais vagabonde occasionnellement jusque dans l'est. Il ressemble beaucoup au Lin cultivé (Linum usitatissimum), d'ailleurs il est fort possible qu'il soit l'un de ses ancêtres, et que des siècles de sélection massale aient favorisé l'apparition d'un lin annuel aux tiges plus riches en fibres, utilisables pour la confection de textile, et aux graines plus riches en lipides. Ce lin sauvage est donc potentiellement un extraordinaire réservoir de gènes pour faire évoluer nos cultures actuelles.
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Lin bisannuel (Linum bienne) Photo : wikipedia.org |
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Probablement importé, volontairement ou non, d’Asie (Indes), le Pourpier maraîcher fut longtemps cultivé comme un légume, idéal pour le potager : De culture simple, ses feuilles succulentes permettaient de préparer des salades très riches en vitamine C. Puis cet usage fut peu à peu marginalisé, et le pourpier disparut des jardins. Heureusement il perdure à l’état spontané aux cœurs des villes. Plante rudérale très résistante, on le rencontre le plus souvent entre les pavés d’un trottoir ou aux pieds des vieux murs. Dans les jardins, On lui préfère le Pourpier à grandes fleurs (Portulaca grandiflora) dont les variétés horticoles sont très appréciées pour les couleurs magnifiques de leurs fleurs, mais dont les feuilles sont trop amères pour être consommées. |
Pourpier maraîcher (Portulaca oleracea) Photo : photoflora.free.fr |
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Cette plante étrange semble sortie de l’imagination d’un artiste de science-fiction. La Claytonie perfoliée est une plante succulente qui pousse sur les sols sableux, les murailles, les décombres et les bords des chemins. En France, son aire de répartition se limite à quelques régions proches de la Manche, ailleurs elle demeure très rare et fortuite car en réalité elle est originaire d’Amérique du nord occidentale. La Claytonie fut importée et introduite dans les jardins en tant que légume au même titre que son proche parent le Pourpier potager (Portulaca oleracea). Comme beaucoup de plantes comestibles dont l’usage est tombé en désuétude, la Claytonie s’est beaucoup raréfiée. |
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Qui ne connait pas "l'arbre à papillons"? Cet arbuste à la croissance ultra-rapide peut facilement atteindre 2 mètres en une année, même sans entretient. La plante porte bien son nom car peu de végétaux attirent autant d'espèces différents de papillons et autres butineurs. Un véritable cortège de couleurs et de bourdonnement accompagne ses fleurs au parfum liquoreux. Originaire de l'Himalaya et introduit par le Père Armand David au 19ème siècle, le Buddleia eut son heure de gloire dans les jardins. Il existe des cultivars aux fleurs blanches ou roses. Passé de mode aujourd'hui, l'arbre à papillons s'est enfuit volontiers des jardins pour coloniser friches, terrains vagues et décombres. Typiquement rudéral, il pousse sans problème même dans des endroits incongrus : entre les pavés, les toitures abandonnées, les gravas... Il fait désormais partie de la flore spontanée des villes. |
Buddleia de David (Buddleja davidii) Photo : Cabane de Tellus |
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Le saviez-vous
Le Buddleia de david est aujourd'hui considéré comme une espèce invasive, car il se développe très rapidement dans les lieux qui ont subit de récentes transformations. Cependant en France il n'a pas un comportement "agressif", il ne pousse que là où les humains ont provoqué un déséquilibre. Il est donc peu envahissant en dehors des villes ou des écosystèmes perturbés. |
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La Rue officinale dite aussi "Rue fétide", est un petit arbrisseau fortement aromatique, autrefois cultivée pour son arôme parfumant vins et liqueurs, ainsi que pour ses puissantes propriétés médicinales. C'était également une plante réputée "magique" car possédant, entre-autre, des effets abortifs. Seules les sorcières les plus douées savaient la manier sans risque, car son emploi devient rapidement dangereux à fortes doses ! Diffusée et cultivée dans toute l'Europe, la plante dégage une puissante odeur, rappelant la noix de coco pour certains, mais considérée comme "fétide" par d'autres. |
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Cette plante de taille impressionnante, jusqu'à trois mètres de hauteur, est une voyageuse importée d'Inde au 19ème siècle. D'où son nom de Balsamine des l'Himalaya. Très appréciée pour sa floraison abondante, parfumée et son caractère facile, la Balsamine géante s'est rapidement échappée des jardins où elle était cultivée et a colonisé les endroits humides et les berges des rivières. La plante utilise la pression de l'eau pour croître et maintenir ses tiges dressées, voilà pourquoi elle est sensible à la sécheresse et au gel, mais cela explique aussi sa si grande vitesse de croissance en milieu humide. Aujourd'hui la balsamine est parfois considérée comme invasive dans certaines régions d'Europe, où les colonies évincent les autres végétaux. |
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Le saviez-vous
La Balsamine de l'Himalaya est bien connue des enfants qui s'amusent avec ses fruits "explosifs". Il s'agit d'une méthode de dissémination astucieuse : Le fruit accumule de l'eau de façon asymétrique, créant ainsi une forte tension dans l'une de ses parois. Au moindre choc (contact, vent, mouvement brusque, amplitude thermique...) le fruit éclate littéralement en propulsant les graines dans toutes les directions. |
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Balsamine à petites fleurs (Impatiens parviflora) Photo : Cabane de Tellus |
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Comme d'autres Balsamines, la Balsamine à petites fleurs a été introduite au 19ème siècle dans les jardins d'agréments en Allemagne. Cette petite plante à fleurs jaune-pâle est originaire des forêts ombragées et fraiches d'Asie du Nord-Est. Elle fut particulièrement utilisée pour fleurir les zones sombres des jardins. La plante déteste d'ailleurs le plein soleil, qui peut lui être fatal. En revanche les sous-bois sont rapidement colonisés par cette plante qui concurrence parfois notre espèce autochtone, la Balsamine des bois (Impatiens noli-tangere) au point d'être considérée comme espèce invasive dans diverses régions. |
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Le Phytolaque d’Amérique, mieux connu sous le nom de "Raisin d’Amérique" est un arbrisseau rudéral à la croissance vigoureuse, importé il y a presque 500 ans et qui s'est bien implanté en Europe. Il fut souvent cultivé dans les jardins pour ses propriétés tinctoriales et médicinales. En murissant ses fruits puis l'ensemble de l'inflorescence en épis prennent une couleur noir-vineux, qui donne un très beau colorant pourpre. Ses feuilles étaient parfois consommées comme des épinards et mâcher ses baies permet de soigner ulcères buccaux, gingivites et aphtes. Sans toute-fois les avaler, car la plante crue contient des saponines qui la rendent puissamment laxative et même rapidement toxique. Aujourd'hui le Phytolaque d’Amérique est considéré comme une espèce localement invasive. |
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Le saviez-vous Autrefois certains viticulteurs peu scrupuleux camouflaient leurs vins de mauvaise qualité en les colorant avec de la teinture de Phylotaque d'Amérique. Cette contre-façon était punie de la peine de Mort avant la révolution. Aujourd'hui on étudie le Phylotaque comme remède simple mais très efficace pour prévenir la bilharziose en Afrique. |
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Saxifrage tridactyle (Saxifraga tridactylites) Photo : wikipedia.org |
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Les Saxifrages font partie des plantes les plus douées pour vivre au milieu des roches et les cailloux, d'ailleur "Saxifrage" peut se traduire par "perce-pierre" et ce nom fut attribué à la flore dite "saxicole". Elles sont nombreuses à aimer l'altitude et à vivre en montagne. Parmi elles, le très discret Saxifrage tridactyle a plutôt jeté son dévolu sur les trottoirs et les murs où les zones caillouteuses et les coins oubliés, même haut-perchés, sont nombreux. Il vit en petites colonies formant des praires miniatures. Plante pionnière, sa présence favorise l'accumulation d'humus et la formation d'un micro-climat qui va permettre à d'autres espèces de coloniser le milieu après lui. |
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Il fut un temps où, récemment importé d'extrême orient, planter un Ailante glanduleux dans son jardin était à la dernière mode. Apprécié pour son aspect exotique, on ne tarda pas à se rendre compte qu'il s'agissait d'un arbre au bois sans valeur, dégageant une odeur désagréable, qui se multipliait sans difficulté même dans les sols ingrats et qu'il était capable de percer les revêtements urbains avec ses innombrables et infatigables rejets. Banni des jardins, cet arbre à la croissance fulgurante retrouva sa liberté et fait désormais partie de la flore rudérale des villes aux cotés d'autres arbustes sub-spontanés rescapés de nos modes passés tel que le Buddleia de david par exemple. |
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Le saviez-vous
L'ailante glanduleux est l'hôte des chenilles de divers lépidoptères tels que Ailanthus tisseuse (Atteva punctella) ou le Bombyx de l'ailante (Samia cynthia). Ce dernier peut fournir une soie résistante, capable de remplacer celle issue du Bombyx du murier (Bombyx mori). Mais cette alternative, éclipsée par l'arrivée des fibres synthétiques, n'a pas été exploitée par l'industrie. |
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Oxalide des fontaines (Oxalis fontana) Photo : Cabane de Tellus |
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Cette petite plante est originaire d'Amériques du Nord, proche cousine de nos oxalides indigènes. Plantée comme plante ornementale pour ses feuilles cordiformes caractéristiques, elles forment de petits parapluies lorsqu'elles se replient à l'ombre ou la nuit. L'Oxalide des fontaines se contente d'un rien et de conditions extrêmement variables. De parcs en jardins, elle s'est échappée pour devenir sub-spontannée dans la plupart des villes françaises. Elle est même parfois envahissante avec ses fruits explosifs qui catapultent les graines au moindre contact. On la rencontre souvent en compagnie d'autres Oxalides importées telle que l'Oxalide corniculée (Oxalis corniculata). |
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