BannièrePissenlit La Cabane de Tellus LogoTellus

 

 

 

 



à vous d'agir!

 

Nigelles
 
...messicoloCulture des plantes messicolesretour01Retour
Fleurs des champs

Le dernier refuge pour les plantes messicoles semble bien être le jardin… Si vous le voulez bien, vous pouvez empêcher la disparition de ces plantes. C’est très simple, les plantes sauvages ont tout pour plaire aux jardiniers qui préfèrent un jardin débordant de vie, qu’une sinistre plantation monochromatique, à la pelouse parfaite et aux haies géométriques, mortellement ennuyeuses!

De plus les plantes sauvages ne demandent presque aucun travail laborieux, un entretien des plus minimes, quasiment aucun produit phytosanitaire ou autres corvées déplaisantes…

Faites entrer un peu d'esprit bucolique dans votre jardin en laissant une petite place aux "fleurs des champs".

Elles ne peuvent peut-être pas rivaliser contre les couleurs criardes ou la taille impressionnante de certaines plantes horticoles, mais n’en ont pas moins de charme et d’élégance. A la différence des cultivars commerciaux, elles résistent bien a la sécheresse, au froid, aux parasites et maladies et enfin elles attirent beaucoup plus de butineurs. La multiplication des pétales ou l’hypertrophie des fleurs des variétés horticoles se faisant souvent au détriment de la production de pollen et de nectar par la plante.

Legousia_speculum-veneris en pot

Certaines espèces, ici le Miroir de Vénus (Legousia speculum-veneris) supportent très bien la culture en pot. Qui pourrait croire que cette charmante petite plante est une "mauvaise-herbe" des champs?

Photo : Cabane de Tellus

Les Messicoles au jardin

Selon le climat, la période idéale pour semer se situe d'Octobre à Novembre ou au printemps de Février à Mai, suivant les précipitations (les semis automnaux fournissent généralement de meilleurs résultats). Certaines espèces germent préférentiellement en automne, d’autres plutôt au printemps et enfin certaines peuvent germer à peu près n’importe quand dans l’année. Attention! Contrairement aux graines des plantes domestiquées, la plupart des graines peuvent avoir des germinations imprévisibles et hétérogènes, le taux de germination pouvant même être assez médiocre chez certaines espèces.

Le Coquelicot (Papaver rhoeas) et le Bleuet (Centaurea cyanus) à nouveau réunis, bien à l'abri dans votre jardin.
Photo : Cabane de Tellus

droiteIcone_pdf_Tellus

Télécharger l'article :
Cultiver les "fleurs des champs" chez vous. (Cliquez sur l'icone PDF)

Mélangez les graines entre elles, cela permettra aux différentes espèces de prendre appui les unes contre les autres pour résister au vent et former un massif plus cohérent. Vous pouvez aussi y inclure quelques grains de blé, d’orge ou d'autres céréales pour faire plus vrai que nature.


...melliUn refuge pour les abeilles solitairesretour01Retour
Nichoir à osmies

Voici une idée aussi ludique qu'utile pour favoriser la biodiversité dans votre jardin : La confection d'un nichoir pour abeilles solitaires. En effet nos espaces verts (jardins, parcs, pelouses...) sont souvent trop propres : Pas d'arbre mort, pas de tas de branches ou de muret de pierres. Même chose aux abords des villes où la crises du logement se fait parfois sentir pour les hyménoptères solitaires.

Le nichoir à osmies de la Cabane de Tellus, un véritable succès : de simples morceaux de bois percés et des fagots de tiges creuses. Rudimentaire, mais rapidement colonisé dès la première année, et fidèlement habité tous les ans depuis.

Photos : Cabane de Tellus

Nichoir_hyménoptèresNichoir_hyménoptèresNichoir_hyménoptèresNichoir_hyménoptères

Un simple morceau de bois percé de trous (de 5 à 10 mm de diamètre) sur une profondeur variable (100 mm ou plus) placé à l’abri près d’une fenêtre ou près d’un massif de fleurs, sera vite colonisé par les Osmies et autres abeilles solitaires. Vous pourrez ainsi les observer tranquillement sans les déranger. Plus simple encore, un fagot de tiges creuses (Bambous, roseaux, ronce ou autres) ou de bois au cœur tendre (tiges de Sureaux, Rose-trémière…) pourra accueillir d’autres espèces qui préfèrent creuser eux-mêmes leurs galeries.

Osmia rufa

Deux mâles osmies (Osmia sp.) explorent les différentes galeries des nichoirs en attendant la sortie des femelles.

Photo : Cabane de Tellus

Osmia cornuta

Pour augmenter les chances que votre nichoir soit habité dès la première année, assurez-vous de le rendre visible : de préférences à l’abri des pluies et à proximité de plantes mellifères précoces, afin de les attirer : Primevères, Jacinthes, Perces-neiges… Les Osmies cornues (Osmie cornuta) sont particulièrement attirées par les fleurs de Buis (Buxus sempervirens), de Cornouillers mâle (Cornus mas), de groseillers (Ribes sp.) et autres végétaux aux floraisons précoces. Le nichoir une fois repéré, sera fidèlement réutilisé chaque année. Les enfants peuvent sans danger observer ces abeilles qui sont particulièrement pacifiques.

De simple tiges de bambous, de Ronces ou de Cardères peuvent aussi très bien faire l'affaire, ici une Osmie cornue femelle (Osmia cornuta) achevant l'un de ses nids. Photo : Cabane de Tellus
Télécharger l'article :
Un nichoir pour les abeilles solitaires (PDF)
Pdf gauche
Osmies revenant chargées de pollenIci des Osmies femelles en plein travail. L'osmie de droite a sa brosse ventrale chargée de pollen qu'elle va déposer dans la cellule en construction. Photo : Cabane de Tellus

Il est toujours bon de ne pas concentrer les nichoirs à hyménoptères tous au même endroit : cela peu faciliter l'apparition et la propagation de parasites et entraîner une mortalité ou une désertion de certaines galeries. Au contraire si vous dispersez les nichoirs dans différents endroits, vous augmentez la chance de voir plus d'espèces profiter de votre geste.

retour01Retour
Stade oeuf
Stade larve

En disposant des tubes transparents dans le nichoir, on peut observer l'évolution de la progéniture de l'Osmie. Ci-contre, à gauche : en avril, une cellule fraichement terminée avec la réserve de nectar, de pollen et l’œuf unique, soigneusement disposés. A droite : Un mois plus tard la larve a déjà presque terminé les réserves de nourriture et s’apprête à fabriquer un cocon. L’insecte devenu adulte n'en sortira qu'au printemps prochain.

Ci-dessus : Vue à l'intérieur d'un nid d'osmie grâce à un tube transparent : Le stade "œuf" en avril à gauche.
Le stade "larve" un mois plus tard à droite. Photos : Cabane de Tellus

Eriades sp.

Eriades sp.

Un autre exemple d'hyménoptère pouvant profiter d'un nichoir : une petite abeille Heriades (Eriades truncorum). Cette minuscule abeille (moins d'un cm de long) de la famille des megachilidées est très discrète. Des trous de 3 à 6 millimètres de diamètre lui suffisent amplement. Beaucoup plus tardive que les Osmies, on peut l'observer en juin et en juillet en train de butiner les Astéracées et de confectionner de petits bouchons avec de la résine.

Ci-dessus : Une Hériade (Eriades truncorum) visitant une galerie en cours de construction. Photos : Cabane de Tellus

Auplopus_carbonarius

Auplopus_carbonarius

Encore un autre exemple d'espèce profitant, indirectement cette fois, du nichoir : Un Pompile charbonnier (Auplopus carbonarius) a profité de l'étanchéité du nichoir pour y faire son nid. Elle confectionne de jolies petites amphores en terre argileuse, véritables œuvres de poterie, dans lesquelles elle dépose des araignées capturées (parfois aussi grosses qu'elle!). Bien à l’abri dans leurs cellules et protégées de la pluie, les jeunes sortiront au printemps après avoir consommé les araignées.

Ci-dessus : A gauche un Pompile charbonnier (Auplopus carbonarius) adulte. A droite, bien à l'abri contre le nichoir à osmies : les cellules d'argile façonnées par la femelle et qui contiennent les futures larves. Photos : Cabane de Tellus

A droite : Le nichoir à osmies de la Cabane de Tellus a toujours autant de succès. Dès la mi-mars les mâles des Osmies cornues les plus précoces ne cessent de visiter les galeries. A la fin du mois c'est un véritable nuage de petites abeilles survoltées qui attendent avec impatience l'émergence des premières femelles.

A gauche : Pour ceux qui en douteraient encore : les osmies ne sont pas agressives du tout. Les mâles totalement innofensifs prennent parfois le temps de se reposer et de se toiletter un peu avant de repartir à la recherche des femelles.

retour01Retour

L'art de la maçonnerie chez les insectes

Voici un petit aperçut des œuvres confectionnées par certains des locataires des nichoirs. Chaque espèce ayant ses techniques caractéristiques, on peut deviner qui est venu s'installer même si l’insecte n'a pas été vu.
Osmia_cornuta(nid)

L'orifice du nid est d'un diamètre de 5 à 11 mm et bouché avec de la terre argileuse. L'aspect final est assez lisse et régulier. C'est qu'il s'agit sans doute de l'Osmie cornue (Osmia cornuta).
Période d'activité : mars à début mai.

Osmia cornuta
osmia rufa (nid)

Les orifices utilisés font de 4 à 9 mm de diamètre et sont obstrués par de la terre argileuse. L'aspect fini est irrégulier et granuleux. Il peut s'agir de L'Osmie rousse (Osmia rufa).
Période d'activité : avril à fin mai.

Osmia rufa
Osmia caerulescens (nid)

Les trous occupés sont de 3 à 7 mm de diamètre. Ils sont bouchés à l'aide d'une matière verdâtre qui est un mortier fait de matières végétales broyées et d'argile. C'est l’œuvre de la discrète Osmie bleutée (Osmia caerulescens).
Période d'activité : fin avril à fin juin.

Osmia caerulescens
Eriades_truncorum(nid)

Les plus petits trous (de 2 à 4 mm de diamètres) sont colmatées avec une matière résineuse blanche ou brune et quelques petits graviers. C'est sans doute les minuscules Hériades (Eriades sp.).
Période d'activité : fin avril à juillet.

Eriades truncorum
Symorphus sp.

Une guêpe timide et plutôt discrête : les Symorphes (Symmorphus sp.) emplissent leurs nids de larves d'insectes capturées et paralysées avant de boucher l'entré a l'aide d'un mélange d'argile et de fibres de bois, lisse et très solide.
Période d'activité : fin mai à aout.

Symmorphus_sp.
Isodontia mexicana

Impossible à confondre avec une autre espèce : Les nids de l'Isodonte mexicaine (Isodontia mexicana), sont bouchés avec de l'herbe tissée et compactée derrière laquelle la femelle entasse des criquets paralysés pour ses larves.
Période d'activité : Juin à aout.

Isodontia_mexicana

...messicoloDésherber sans détruireretour01Retour

Stop_aux_herbicides

Icone_pdf_Tellus
retour01

Revers de la médaille, ces produits synthétiques (herbicides, fongicides, insecticides...) qui étaient censés nous rendre la vie plus facile, se retrouvent désormais dans l'eau que nous consommons, dans les milieux naturels et même à l'intérieur de notre propre organisme !

Certains scientifiques ont découvert qu'ils étaient en partie responsables de l'augmentation de la fréquence de certains cancers, de la baisse de la fertilités, de troubles hormonaux, d'accidents domestiques... Et aussi de la régression de la flore et des insectes butineurs, avec en première loge l'abeille mellifère (Apis mellifera) !

Alors pourquoi ne pas commencer par arrêter tout simplement d'en utiliser au moins pour votre jardin? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, pas besoin de désherbants pour réguler les "mauvaises-herbes", il existe différentes techniques simples, beaucoup moins chères, moins risquées et surtout plus respectueuses de l'environnement :

- le paillage
- le faux-semi
- le désherbage thermique...

La Cabane de Tellus vous dévoile comment vivre en bonne entente avec nos géniales "mauvaises-herbes" et ainsi préserver votre environnement, vos animaux domestiques et votre propre santé!
(Cliquez sur l'icône pdf pour télécharger l'article)

Le Liseron des champs
Le Liseron des champs (Convolvulus arvensis),
un adversaire à toute épreuve !
Photo : Cabane de Tellus

...messicoloUn jardin bien vivantretour01Retour

Jardin vivant

Les profondes altérations de notre environnent, l'urbanisme galopant et l'omniprésence des pesticides mènent la vie dure à la faune et la flore sauvage. En Europe de l’ouest on peut considérer que la Nature vierge a totalement disparue, si ce n'est dans quelques très rares réserves naturelles totalement préservées.

Mais la vie persiste, à défaut des biotopes primaires d'origines, les biotopes secondaires qui résultent de nos activités peuvent devenir très accueillants pour les êtres vivants. Nos jardins peuvent ainsi devenir de véritables havres de vie, des sanctuaires préservés de l'asphalte et des produits chimiques. Voici les 10 conseils, ou plutôt les dix commandements pour faire vivre son jardin.

Icone_pdf_Tellusgauche Télécharger l'article complet (cliquer sur l’icône pdf)

I. Pesticides et engrais chimiques, tu banniras

En plus de réaliser de véritables économies vous écartez tout risque d'accident domestique et de contamination de votre environnement (déjà bien trop engorgé de résidus chimiques). En préférant les engrais organiques naturels vous permettrez à votre sol de se régénérer naturellement et durablement.
Pesticides
En plus d'être souvent chers et nocifs à la santé, les produits chimiques détruisent l'équilibre biologique du sol et de votre jardin, vous obligeant à utiliser toujours plus de produits.
Photo : Cabane de Tellus

II. En accord avec l'écosystème local, tu seras

Observez les végétaux sauvages qui poussent près de chez vous : Ils vous renseignent sur les caractéristiques climatiques, géologiques et topologiques de votre milieu. En choisissant des végétaux (sauvages ou non) en adéquation avec ce biotope vous obtiendrez un jardin plus naturel, en bonne santé et demandant peu d'entretien. En outre, votre jardin s'intégrera spontanément dans l'écosystème local.

III. La diversité, tu privilègieras

A l'inverse des paysages qui tendent à se simplifier et à s'homogénéiser, optez pour la diversité et l’hétérogénéité ! Laissez la Nature s'exprimer, vous pouvez faire cohabiter intelligemment, et utilement, les espèces spontanées avec des végétaux cultivés. Essayez d'éviter les haies de thuyas ou de lauriers-cerises, aussi ennuyeuses qu'inintéressantes d'un point de vue écologique.

IV. "Mauvaises-herbes" et plantes mellifères, tu accueilleras

Laissez venir les ambassadrices de la biodiversité ! Ces végétaux spontanés trouvent rapidement un équilibre dans votre jardin, en plus d'attirer de nombreux animaux ils hébergent les auxiliaires du jardinier et vous pouvez profiter de leurs nombreuses vertus : couvre-sol, engrais vert, médicinale...
Syrphe et chicorée
Fleurs sauvages et insectes butineurs travaillent de concert pour animer le jardin. Ici un Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) butinant une fleur de Chicorée sauvage (Cichorium intybus).
Photo : Cabane de Tellus

V. Tondeuse et entretien, tu économiseras

Une pelouse n'a pas besoin d'être tondue aussi souvent que l'on veut bien le prétendre. Un gazon parfait est une utopie ou un travail de forcené (il n'y a qu'à observer l'entretien qu'exige les terrains de golf). Point besoin de tondre si c'est juste pour suprimer 2 cm de verdure! Profitez donc de votre jardin et faites des économies de temps et de carburant en laissant votre pelouse se développer entre chaque tonte. En plus d'y voir de nombreuses espèces végétales fleurir, vous obtiendrez progressivement une pelouse plus résistante et plus vivante.
Centaurea jacea
La Centaurée jacée (Centaurea jacea) fleurit volontiers les pelouses si on lui laisse suffisamment de temps entre deux tontes.
Photo : Cabane de Tellus

VI. Les surfaces bétonnées et bitumées, tu limiteras

En France, l'équivalent d'un département entier est recouvert d'asphalte... Et cette surface ne cesse d'augmenter d'année en année ! Essayez de limiter au strict nécessaire vos surfaces bétonnées et bitumées, elles n'offrent aucun abri pour les organismes vivants et favorisent les inondations locales. Au contraire, une surface sableuse, même peu entretenue, peut servir de refuge à des centaines d'espèces différentes.
Pissenlit contre asphalte
Ci-contre, un Pisenlit dent-de-lion (Taraxacum sp.)
s'efforce de récupérer son espace vital.
Photo : Cabane de Tellus

VII. La notion de "jardin propre", tu abandonneras

Les hommes ces sont hâtés de soumettre la Nature à leurs désirs, en particulier dans les jardins. Notre culture imprégnée des tendances "hygiénistes" des années 60-80, perpétuées par la publicité, a fait de nos jardins des décors artificiels où les voisins rivalisent d'efforts pour avoir la haie la plus géométrique ou la pelouse la plus parfaite. Ces déserts écologiques et asseptisés sont tout sauf de véritables coins de Nature. Jettons aux oubliettes ces habitudes de "propre et net"! Laissons la vie créer son propre décor, relâchez un peu votre emprise sur le jardin.

VIII. Des nichoirs et des abris, tu proposeras

Les pressions de plus en plus grandes que les humains et leurs infrastructures imposent à l'environnent, réduisent de plus en plus les lieux de vie des espèces sauvages. Installer des nichoirs et proposer des abris ne sert pas seulement à limiter la crise du logement pour de nombreux oiseaux, insectes, reptiles et mammifères... C'est aussi une formidable occasion de découvrir, observer et se familliariser avec les espèces qui nous côtoient et d'y sensibiliser votre entourage.
Parus_major(oisillons)
Ci contre, les oisillons d'un couple de Mésanges charbonnière (Parus major)
l'une des espèces les plus facilement attirées par les nichoirs dans le jardin.
Photo : Cabane de Tellus

IX. Tes animaux domestiques, tu surveilleras

Pensez que comme vous, vos animaux domestiques ont une influence sur l'écosystème local. Si certains animaux tels les lapins, les volailles et autres oiseaux ont tendance à attirer les animaux sauvages, il en va autrement pour les chiens et les chats. Ces derniers peuvent se comporter comme des prédateurs et faire disparaître de nombreuses espèces du jardin. Pensez à éduquer votre animal et à le rendre plus facilement détectable vis à vis de la faune locale, en accrochant une clochette au collier du chat par exemple.
Hérisson
Le Hérisson d'Europe (Erinaceus eureupaeus), adore se balader de jardin en jardin,
mais il évite souvent ceux gardés par des chiens, qui peuvent représenter un danger pour lui. Photo : Cabane de Tellus

X. Connaître les êtres vivants de ton jardin, tu apprendras

"Connaître, c'est accepter". Mettre un nom sur un animal ou une plante inconnus, c'est pouvoir découvrir qu'ils sont bien souvent totalement inoffensifs, utiles au jardin, menacés à l'état sauvage ou d'autres détails souvent très intéressants. C'est aussi le meilleur moyen de combattre les nombreuses idées reçues injustifiées ou même farfelues qui nuisent à l'image de diverses espèces. (Voir : La foire aux questions : Vrai ou Faux?)

...messicoloLa banque de grainesretour01Retour

La banque de graines ne sera finalement pas ressuscitée… Repose en paix.

Pourquoi ? Pour plusieurs raisons :
1 : le prix des timbres sont devenus prohibitifs pour le porte monnaie de la Cabane de Tellus.
2 : le temps de récoltes des graines et d’envoi du courrier (activités très chronophages !) dont le petit Web-Master ne dispose plus vraiment.
3 : le terrain qui servait à cultiver les espèces concernées, n'est plus disponible. Que cela ne vous empêche pas de récolter quelques graines autour de chez vous pour essayer de les cultiver dans votre jardin, cela reste une expérience vraiment intéressante et un excellent outil de sensibilisation.

RIP

...messicoloEn savoir plusretour01Retour

La Cabane de Tellus : "Foire Aux Questions"
La Cabane de Tellus : "Vrai ou Faux"
Terre vivante, l'écologie pratique : Un jardin au naturel
LPO : Les abeilles au jardin
Nature-Namur.be : Jardin Nature admise
Ligue ROC : Opération Oasis-nature

 

...messicolo La liste rouge : Les espèces menacéesretour01Retour

en préparation en préparation


*Cliquez (ou double-cliquez) sur les mots en Violet pour faire apparaitre la définition.
Retour à l'accueil
retour
Retour
Retour
Suite
Suite